01.INT. Couloire d’une prison. Jour
Un gardien marche sur un long couloirs, plein de cellule à droite et à gauche ainsi qu’en haut. Il monte le premier étage puis le second et enfin, le dernier étage tout en sifflotant la mélodie d’une musique a priori douce jusqu’à ce qu’il arrive à destination, la cellule 1410. Il tape deux fois sur les barreaux avec son bâton.
Le Gardien (Calme puis Choquer !) :Allez Django, lève-toi … Bordel ! Remet ton caleçons. Arrête de te branler, MAINTENANT !
Django (Un sourire sardonique, sarcastique) : Tu choisis toujours les pires moments pour venir me voir, je te déteste mais vu que t’es la, c’est ton tour de prendre la manette. Si tu vois ce que je veux dire.
Le Gardien : Ouais, c’est ça…
Le gardien sort les clés, ouvre la porte et fouille un peu partout en plus de mettre à Django des menottes.
Django : Tu t’es améliorez, c’est une bonne chose tu crois pas. Jouons plus tard, que me vaut l’honneur de ta visite Frankie ?
Le gardien reste concentré sur ce qu’il fait puis pousse Django hors de sa cellule.
Frankie : T’as rendez vous chez le psy. J’étais de bonne humeur et j’aimerai bien le rester. Alors, marche vite fumier.
Django : Ne sois pas jaloux mais le psy me manque plus que toi, ca fait un moment que je n’ai pas discuté avec Peter.
Frankie : Peter, Quoi tu ne le sais pas ?!
Django s’arrête mais le gardien le pousse.
Django : Qu’est ce que j’ignore ?
Frankie : Avance et me fait pas chier.
02.EXT/INT. Bureau du psychologue. Jour.
Le gardien enlève les menottes de Django puis toque à la porte. Le psy lui accorde la permission.
Django : On se reverra à la cantine, Frankie ?
Franky fait rentrer Django dans le bureau puis repart en fessant un doigt d’honneur à Django au passage pendant le bref instant où le psy était occupé avec ses dossiers.
Le psy (très calme) : Bonjour, Ali, je suis ton nouveau psychologue. Je m’appelle Henry. Asseyez-vous, s’il vous plait.
Django s’assoit et fixe le visage d’Henry.
Django (en fixant le psy, avec étrangeté en plus) :Puis je vous faire une remarque Mr… Henry.
Dr. Henry :Allez y, qu’avez-vous remarquez ?
Django (avec une voix basse) : Vous êtes moche, je préfère Peter.
Le psy est surpris et mal à l’aise durant quelque seconde. Ensuite, il se remet droit et rétorque aussi calme qu’au départ.
Dr. Henry : Malheureusement pour vous, je serai votre psychologue et non, Dr. Peter. Me fessant cette remarque je déduis que vous ignorez ce qui se passe. Mr. Peter est mort !
Django est surpris, le blanc de ses yeux apparaît plus clairement.
Django (Ali) (Nerveusement) : Comment est ce qu’il est mort ?
Django palpe ses mains, comme s’il était moite, il se referme sur lui-même au niveau des pieds et incline sa tête vers le bas, tout en étant totalement concentré sur ce que Henry, le psy va dire. Le psy remarque ses signes.
Dr. Henry : Calmez vous, je vais vous racontez TOUT ce que je sais depuis que je suis venu il y’a deux jours. Respirez lentement, et écoutez-moi, calmement.
Django respire et se détend, plus serein qu’il y’a une minute.
Dr. Henry : Très bien, c’est parce que vous semblez être beaucoup préoccuper par ce qui est arrivé…
Django (subitement et un peu violemment) : ACCOUCHE BORDEL DE MERDE !
Henry est sans voix.
Dr. Henry : Peter s’est suicidé ! Chez lui, il y’a deux semaine, Ne me demandez pas pourquoi, personne ne le sait, vous devez savoir que sa ne lui ressemble pas. Encore pire, il n’est pas parti tout seul, il a emmené avec lui sa femme et adorable fille de huit ans. Il les a sauvagement massacrés, ensuite, il a appelé la police. Avant que ces derniers n’arrivent, il s’était déjà pendu, laissant juste une lettre posée devant une table à coté ou il est mort. Cette lettre est destinée à un certain personnage au nom de L.
Django (choquer et terrifier !): L… (L… L… L…. EST EN VIE ?!…L…L…L…L) (monologue)
Dr. Henry : Ça va, Ali… qu’est ce qui ne va pas ?
Django (reprend ses esprits): Continuez Henry, continuez, qu’est ce qu’elle dit cette lettre ?
Dr. Henry: L est revenu ajoutant qu’il est déterminé à revoir ses amis, ceux qu’il aime et adore plus que tout au monde.
03.INT. CELLULE 1410 de Django. 2H plus tard.
Django allongé sur son lit, très préoccupé dans ses pensées… Le gardien vient le voir.
Frankie: C’est encore moi. Je me souviens même plus de la dernier fois où une personne t’as rendu visite mais aujourd’hui c’est le grand jour, quelqu’un c’est souvenu que t’existais et t’attend.
Django fait sur le coup, un visage totalement effrayé.
Frankie (étonné) : On dirait que tu vas te chier dessus, t’es a ce point anti social. Ne fais pas cette tête, un peu de gratitude.
Frankie ouvre la porte. Django directement sur lui, il le pousse vers le coté, et saute du troisième étage pour se heurter violemment sur le sol de la prison.
Fin.
J’ai mis “Prologue” mais ce n’est pas sûr que je publie d’autres épisodes sur cette “Série”… On verra, je vous promet rien !
Bonne lecture et… Bonne nuit :)